La recherche pourquoi donner?
Les patients atteints de l’ataxie de Friedreich n’ont peut-être pas longtemps à attendre car des expériences récentes de thérapie génique sur des souris modèles donnent espoir d’un futur traitement.
Cette thérapie génique est basée sur l’utilisation d’un virus réputé inoffensif appelé AAV (Virus Associé à l’Adénovirus). Il est devenu urgent de développer, au Québec, un laboratoire capable de produire ce type de vecteurs viraux, indispensables pour le traitement par thérapie génique des personnes atteintes de maladies héréditaires.
Avec la thérapie génique nous entrons dans ce qu’on appelle la médecine de l’avenir. La découverte de mutations dans plus de 7 000 gènes causant des maladies héréditaires souvent très rares permet de croire qu’on pourrait traiter de 300 000 à 500 000 Québécois atteints de ces maladies si on consacrait à la recherche les argents nécessaires.
Dans l’immédiat, Ataxie Canada soutient financièrement la recherche que le Dr Jacques P. Tremblay poursuit sur l’ataxie de Friedreich avec son équipe. Juste pour la pension et la reproduction des souris modèles de cette maladie, il en coûte 50 000 dollars par année.
Les essais cliniques envisageables d’ici quelques années vont coûter des millions de dollars.
Parce que le temps compte quand on est atteint d’une maladie dégénérative et que la thérapie génique a fait ses preuves ces dernières années dans le traitement des maladies héréditaires, Ataxie Canada – Fondation Claude Saint-Jean, en partenariat avec tous les intervenants qui gravitent autour, chercheurs, gouvernement, fondations, population, nous multiplions les démarches pour qu’ensemble nous arrivions à traiter, sans retard inutile, le plus grand nombre possible de patients atteints de maladies héréditaires.
De là l’importance de donner à Ataxie Canada qui soutient des projets de recherche qui auront des retombées positives pour plusieurs maladies héréditaires.
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La préparation physique
On associe souvent la préparation physique aux athlètes de haut niveau parce que ceux-ci travaillent avec des préparateurs physiques. Toutefois, en tant que sportif amateur nous pouvons être prêt physiquement pour notre saison, nos cyclos et nos objectifs.
Dans la préparation physique il y a trois piliers reliés à la performance, soit l’aspect physique, l’aspect neurophysiologique et l’aspect cognitif. Les trois sont reliés et dans ce triangle on retrouve au cœur la complexité. Parce que toute préparation a ses défis tant au niveau de l’horaire, des maladies, des blessures, etc., la complexité nous oblige à trouver des solutions dans notre approche, solutions qui peuvent être bénéfiques.
- Aspect physique : Il s’agit de tous les points ayant un lien avec les capacités physiques liées à la performance;
- Aspect neurophysiologique : Tous les éléments touchant la nutrition, la récupération, le sommeil, etc.
- Aspect cognitif : S’intéresse au côté cérébral de l’accompagnement/la préparation du sportif dans sa gestion du stress, sa capacité à prendre du recul, l’anticipation et la projection.
On peut négliger un des trois aspects, mais à partir d’un certain manque, on ne peut plus maintenir le rythme et c’est la descente (surentrainement, fatigue, etc.).
Clinique présentée par Marilyn Charbonneau, tous droits réservés Kamikazz Sport Inc.
Source: http://www.granfondoeco.com/preparation/
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